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...A l'origine des Adyga (Tcherkesses)

se dresse le Caucase...


Les Adyga - Page 2 /4 -



B - Préambule sur les Adyghés:

Les tcherkesses sont les autochtones du Nord-ouest Caucase, possèdent une langue unique bien différenciée et une culture riche & raffinée à l'extrême. C'est un des plus anciens peuples structurés en socété et un des premiers résident d'Europe.
La présence archéologique de la civilisation Adyghée dans le Caucase est anterieure aux civilisations de l'ancienne Egypte, de la Grèce Antique, de la Perse et de la Chine. « La première présence humaine dans le Nord-ouest du Caucase remonte à 300 000 ans ». De nombreux sites datant du Paléolithique ont été trouvés le long des côtes de la Mer Noire et sur les pentes nordiques caucasiennes, et aux frontières de Krasnodar. (src :N.V. Anfimov Drevnieie Zoloto Kubani, Krasnodar, 1987)

Les peuples qui s'installèrent sur cette montagne, depuis la nuit des temps, ont du faire face constamment à un flux d'envahisseur et de conquérant désireux d'agrandir leur territoire et leur palmarès.
Les Adyghés, bien que peu nombreux contrairement à beaucoup de peuples, ont su préserver leur liberté de par leur puissance guerrière, leur habilité équestre inégalée. D'ailleur les troupes Cosaques de l'armée russe ont appris cette discipline de voltige équestre et ont par la suite créé la Djiguitovka, plus connue en occident.
Les Adyghés n'ont jamais cherché à coloniser une terre, ils n'ont cessé de défendre la leur toujours avec la même rage de vivre, envers et contre tous.
Notamment contre les plus impitoyables conquérants de l'Histoire qui ont tous échoué dans leurs tentatives: d'Alexandre 'Le Grand', Genghis Khan, Attila 'le Hun', Pierre 'Le Grand', jusqu' à Charlemagne. Nous avons été conduit maintes fois vers l'extinction, mais toujours nous avons su renaitre, prospérant.

Le Caucase possède des ressource naturelles considérables (**) et est dépeint comme le Paradis terrestre (cf. écrits des aventuriers de tout temps). Le Caucase est le centre de L'Eur-Asie, il a toujours été une plateforme stratégique pour les peuples qui l'entourent. Seul passage direct du nord du centre de l'Europe vers le proche orient, la route de la soie, passage obligé de toute entité qui voulait contrôler le monde !
Ainsi, une des derniéres tragédie survenu aux Circassiens est ''la Guerre de 100 ans'' durant laquelle, pendant plus d'un siècle, ils se sont tenus dressés contre l'encerclement et l'invasion russe visant l'annexion de leurs terres et de leur liberté!
Finalement sur le long-terme, du fait de leur situation géographique montagneuse d'isolement, le 21 mai 1864, privés d'approvisionnements en ressources vitales (iode, sel...), fatalement en carence et donc épuisés, ils ne parvinrent pas à repousser les hordes de l'armée russe.

(**):Principalement, les ressources minérales du Caucase incluent le pétrole, le gaz naturel, le manganèse, le cuivre, le tungstène et le molybdène. Le bétail est élevé sur les pentes densément couvertes de forêts. Le blé, l'orge, le maïs, le tournesol, beaucoup de fruits et légumes sont développés dans le piémont nordique du Caucase & les agrumes, le coton et le thé sont cultivés dans les vallées plus chaudes. D'excellentes ressources abondent en Républiques circassiennes d'Adighé, de Kabardino-Balkarie et Karachaevo-Cherkesse aussi bien que dans les contrés Shapsugue et la République Abkhaze.

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  • 01 - La structure sociale de la société Tcherkesse :

    La structure sociale de la société circassienne était très complexe et a été basée sur le féodalisme hiérarchique, excepté quelques tribus adoptant un système égalitaire. Chaque tribu était divisée en principautés, qui étaient indépendantes les unes des autres, bien qu'il y ait eu un conseil des princes, qui se réunissait lors des crises nationales.

    La Culture Circassienne est très riche et se distingue par l'étique sociale connue sous le nom d'Adyga Khabza
    L'Adiga Khabza est un code transmit oralement qui réglementait et réglait les normes comportementales et sociales des tcherkesses. Ce code des coutumes est très droit et complexe, sa transgression était condamnés sévèrement.
    Il a évolué de telle façon à assurer une discipline militaire stricte qui puisse se maintenir à tout moment pour défendre le pays contre les nombreux envahisseurs qui ont convoité les terres circassiennes. Mais au dela de la défenses de la nation, il régissait aux quotidien les us et coutumes, traditions et codes de l'Honneur tcherkesses. Si bien que meme encore aujourd'hui on trouve au Caucase des villages dépourvus de service de police car tout est régit sur l'honneur, ainsi la criminalité n'a pas de place et les problemes du quotidiens sont réglés a l'amiable directement par les parties conscernées qui reconnaissent leur part de responssabilité.

    La base de cette tradition repose sur le Respect Mutuel et l'Amour (...de la vie, ...de la liberté...). Les caractères les plus significatifs de cette étique sont :
    - la place de la Femme a niveau d'estime trés élevé, respectant ses droits, (les termes 'féministe' et 'machiste' sont inconnu des Caucasiens depuis l'origine,)
    - le Respect absolu envers les Aînés,
    - l'art de se Dominer, de se Contenir, avec exactitude, résistance et courage face aux Difficultés.

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    La Liberté et "L'égalité (d expression) des (deux) sexes" a toujours été Le Caucase, dans le respect des droits et des devoirs de chacuns et chacunes bien entendu.
    Attention! remarque: ne pas confondre avec 'l égalité des sexes" telles qu'il est revendiqué anarchiquement à tout vas dans nos sociétés occidentales. Où les femmes ont malheureusement vecu dans l esclavagisme et n étaient pour certains fous meme pas pourvue d'une ame..
    Car l égalité (des droits etc..) recherché dans ces dernieres, aujourd hui, ne respect pas les differences naturelles fondamentales homme/femme. On en arrive à l'expression de feministe contre machiste...affligeant!
    Car, pour ceux qui se seraient égarés (en route) il est evident que l homme et la femme ne sont pas égaux mais sont complementaires et tout deux indispenssables, l un ne va pas sans l autre. Les tcherkess l avaient compris et ils respectaient donc les differences.
    Ainsi ils vivaient en harmonie dans l ecoute, chacuns et chacunes avaient sa place!

    Ainsi de par cette consideration, la femme, indispenssable et complementaire, participait pleinement a l essort de la société tcherkess. Defait les femmes aussi s'avaient se battre aux cotés des hommes contre l'ennemi. La légende des Amazones était née!!
    Le système circassien comme il est dépeind fait penser à un systeme Patriarcal, alors qu'à l'origine ce système était Matriarcal d'ailleur la mère occupe une place d'honneur au sein de la société, de la famille notamment dans l'éducation des enfants.

    • Le Féodalisme Hiérarchique circassien:

    • - Le prince:

      À la tête de chaque principauté siège le prince qui détient un pouvoir quasi absolue sur ses sujets. La terre et les serfs étaient des biens possédés collectivement. Le clan était pas divisé en familles qui obéissaient au plus ancien du clan. La transmission des droits ne se faisait pas du père vers le fils mais entre frère.
      Le prestige d'un prince, d'un noble, ne se mesurait jamais à sa richesse matérielle, au luxe de ses demeures et propriétés. Seules, sa bravoure, son écoute, ses conseils, son dévouement, sa générosité et son hospitalité, à l'égard de son peuple posaient la marque des grands hommes. Ainsi il était courant qu'ils offrent des fêtes et d'énorme festin d'une magnificence sans compter et sans limite, à toute heure. ( ca vous rappel pas Asterix et les Gaulois :humour!!)

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    • - Les nobles :

      ans la hiérarchie tcherkesse après le prince viennent les nobles, qui se subdivisent en haute et basse noblesse, et les vassaux qui ont avaient mains libres dans leurs fiefs en échange de leur allégeance. Une coutume particulière, l'Atalique (Ataliqate = le parrain), par laquelle les enfants des princes sont confiés à un jeune âge aux vassaux pour être élevés et entraînés sur un mode militaire, jouant un rôle important en renforçant le rapport entre le prince et ses nobles.
      En dessous de la noblesse venaient - les citoyens d'honneur et - les paysans libres,
      puis - les paysans d'obligation
      et finalement - les esclaves et les bandits qui exécutaient les taches serviles, ces derniers étant principalement des captifs de guerre.

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      Cette structure pyramidale a assuré l'existence de beaucoup d'unités sociales en inter cohésions, qui parfois semblaient suspecte. Un seul prince n'était jamais assez puissant pour soumettre les autres princes afin d'établir une autorité centrale. Le cas du prince kabarde Temriuk lors des fiançailles de sa fille avec le Tsar russe Ivan 'Le Terrible' illustre clairement ce fait. Les seuls bénéficiaires immédiats de cet union furent les fils et les parents du prince Temriuk et leur progéniture, certains d'entre eux entrèrent en service dans la cour impériale russe et établirent la puissante dynastie princière de Cherkassky dont les descendants vivent toujours actuellement. Il est évident que la majorité de princes Kabardes ont refusé d'accepter cette alliance profane car elle ne leurs a apporté aucun avantage. C'est en fait cette structure qui mena la politique russe a continuer sur les divergences futiles entre les élites kabardes. (src. Lemercier-Quelquejay). Les politiciens russes n'ont jamais été capable de comprendre la nature de la société Kabarde, qui était diamétralement opposée à leur organisation autocratique centralisée. .

      A la fin du 18ème siècle, Malgré sa nature féodale la société circassienne montrait des signes important de changements qui tendaient vers une nouvelle phase de stabilité et de prospérité. Les rudiments de la société civile prenaient lentement mais sûrement racine. Par les contacts marchands avec les Européens, particulièrement les Génois, quelques intellectuels circassiens ont commencé à réaliser que la modernité et le progrès étaient les marques qui guideraient la société vers la prochaine étape de l'évolution au delà du féodalisme."
      Paul B. Henze énonce dans son étude sur « la résistance circassienne envers la Russie » :
      "Après les Georgiens et les Arméniens, les Circassiens ont été, de tous les peuples du Caucase, les plus vigoureux à développer les moyens nécessaires pour instaurer la Nationalité. Ils ont des traditions dont les racines se prolongent de nouveau à l'aube de l'Histoire formelle.
      La civilisatuion tcherkesse était dans sa phase la plus cruciale de développement. Il aurait fallu la bonne volonté du destin. C'est l'une des ironies les plus durs de l'histoire circassienne, car à ce moment La Russie lança sa guerre ruineuse qui a poussé la nation au bord de l'extinction, durant plus deux siècles d'affrontements et d'embargos.


      Quant à L'Histoire, en voici une petite introduction qui prend légitimement sa place ici puisqu'elle est a l'origine de notre présence et de notre volonté de VOUS FAIRE PARTAGER notre Existance.

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  • 02 - La Guerre Russo-Caucasienne:

    Du Moyen-Âge jusqu'au 17ème siècle, malgrés des tentatives d'invasions successives, la Circassie restait principalement pacifique et calme.
    Après l'abdication de l'Horde d'Or, (de l'Empire Tartare de Kipchak fondé par Batu Khan, petit fils de Genghis Khan,) sur les bancs du fleuve Volga, à la fin du 16ème siècle, La Russie a commencé à avancer du sud de la russie vers les steppes nordiques du Caucase dans un processus des conquêtes progressives.
    Des l'an 1700, les Cosaques s'étaient fermement établis dans la région de Stavropol (cf. carte ci après). Les Circassiens de plaines du Nord furent graduellement poussés vers le sud dans leurs montagnes entre 1763 et 1793. Les Russes construirent une ceinture des forteresses qui furent utilisées comme tremplins pour préparer leur expansion.
    A la fin du 18eme siècle la plus part de la Kabarda était sous contrôle russe. Certains Kabardes, abusé comme Hajarat, immigrant ou fugitif, qui ont refusé d'accepter l'hégémonie russe, ont migrés à l'ouest dans les régions nommée actuellement République Karachai-Cherkess et République Adighey.

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    Pendant le premier quart du 19ème siècle, les Russes n'ont fait aucun gain durable en Circassie. En 1829, La Turquie a accordée à la Russie une main libre dans le Caucase par le Traité d'Adrianople, bien que les Ottomans n'ont eu aucun pouvoir sur la Circassie, mais ils contrôlaient les régions du Moyen-Orient qui se trouvent au sud du Caucase.
    Ainsi ensuite, La Russie s'est embarquée sur une guerre d'usure indigne, qui a rencontré une résistance féroce des tcherkesses durant 35 années. Tous les augures s'accumulaient lourdement contre les circassiens, dont la mains d'oeuvre et les ressources étaient limitées sur leur territoire encerclé, subissant un embargot à tous niveau pendant plus d'un siècle. Ils n'avaient pas de réparti possible face au flot continu et incessant des canonniers russes en contre bas approvisionnés de façon quasi illimité.
    A première vue On est tenté de supposer que les Circassiens, aux vues de leur perte, n'avaient jamais vraiment saisi la pleine ampleur de la force et de la cruauté de la machine de guerre russe. Mais en réalité d'une certaine manière ont comprend de part leur Code des Traditions, qui reposait sur des principes de chevalerie et d'honneur, que les Tcherkesses n'avaient pas d'autre destinée dans leur coeur que de se battre jusqu'aux derniers et malgré tous.

    Les Circassiens, jusqu'au dernier moment, ont entretenu l'espoir que les puissances occidentales, particulièrement l'Angleterre qui avait des intérêts énormes dans la région, interviendrait en leur nom et les délivrerait des griffes de la Russie. Cette espérance a atteint un crescendo après la défaite des Russes dans la guerre de Crimée en 1857. Mais les alliés ont négligé d'aborder la question caucasienne avec objectivité et humanisme, ceci a engendré dans l'esprit des Caucasiens un sentiment de rancoeur et de trahison vie à vie de l'Europe.
    Ensuite, diminués par une défaite coûteuse et humiliante, les Russes ont assouvi leur vengeance sur les montagnards. Ce n'était qu'une question de temps avant que l'inévitable se produise.

    Après la reddition de Shamil, le légendaire seigneur de guerre du Daghestan sur le front caucasien oriental, et la cessation de la guerre en Tchétchénie en 1859, l'ours russe s'est tourné à l'ouest vers le Kiakh (les Circassiens), qui tenures bon durant 5 ans de plus jusqu'à la dernière bataille en 1864. Ainsile 21 mai 1864 est la date symbolique de la fin de la guerre russo-caucasienne et marque le début de l'exode massif forcé des habitants vers l'Empire Ottoman et le reste du globe.

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  • 03 - La Conséquence de la guerre russo-caucasienne

    Dans cette longue guerre d'usure, les Circassiens ont enduré de lourdes pertes en termes de vie humaine, pas moins de 800.000 morts combattants, et leur pays a été totalement détruit. Beaucoup de tribus ont été éliminées exterminées, notamment l'Ubykh, quelques clans abkhazes, comme le Sadzians, et les Abzakh qui sont actuellement représentés par seulement deux villages dans le Caucase.

    Après la guerre, les Russes ont expulsé la majorité des Circassiens vers l'Empire Ottoman en poursuivant une politique de Terreur organisée et systématique. Des villages entiers ont été pillés et brûlés totalement. Des milliers de Tcherkesses épuisés furent massacrés de sang froid par l'armée russe. Ces actes terrifiants, ajoutés à la connivence des Ottomans, eurent comme conséquence un exode de masse qui a irrémédiablement compromis l'équilibre démographique dans la Circassie.
    Ils subirent l'un des plus important massacre que certaind expertd l'assimilent à un grand génocide du XIX siècle (The Eurasian Politician - Issue 2 October 2000) dont personne ne parle, oublié suite aux autres regretés génocides du XXème siècle qui se sont accaparés le devant de la scène internationale.
    Un detail: rien que lors de l'expulsion de masse, plus d'un million de Circassiens sont morts, dont plus de la moitié a péri sur les routes d'exode.
    Peu de considération a été accordée à la tragédie Caucasienne, selon de nombreux historiens, elle constitue un des plus grands nettoyages ethniques de l' Histoire.

    Les tcherkesses qui sont restés dans le Caucase, environ 150.000, ont été obligés de s'installer dans les plaines nordiques du Caucase où il était plus facile de les surveiller. L'expulsion de masse des Abzakh et des Beslanays, qui occupèrent la partie centrale de la Circassie, montre comment les Circassiens ont été efficacement séparés en trois entités principales avec d'énorme modifications géographiques: Les Kabardes à l'est de la Circassie, les Abkhazes dans le sud-ouest, et le reste du Kiakh décimé dans le nord-ouest. Ceci n'était qu'une illustration de plus de la maxime "diviser pour mieux régner" . On note à ce stade que pendant la règlementation soviétique, quatre entités circassiennes devaient s'établir le long de ces mêmes divisions territoriales. La côte nord-est de la Mer Noire était totalement dégagée de la présence circassienne. La mère patrie était prête pour la colonisation slave.

    Il est remarquable qu'avant le début de l'agression russe, la nation circassienne était la plus grande dans la totalité du Caucase. Rétroactivement, il est possible de calculer le nombre de Circassiens qui auraient habité dans le Caucase aujourd'hui, si les russes ne s'étaient pas embarqués dans leur guerre dévastatrice. Ce chiffre correspondrait au minimum à 10 millions . Si ce nombre est comparé à celui des Caucasiens du nord-ouest habitant réellement dans le Caucase actuellement, ce qui représente environ 1 million, alors on peut commencer à apprécier la pleine ampleur du désastre qui leur est arrivé. (sources: Amjad.Jamoukha)

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    Apres l'Exode, les Circassiens se sont en grande partie répandus à la surface du globe (principalement la Turquie, Jordanie, Syrie, Israel, Etats Unis d'Amérique, pays de l'Est (Balkans...), Allemagne et meme en écosse et irland )([ce qui a donné une musique et une danse "jigs irlandais"Cercle Circassien" jouée meme en bretagne.]) et ont lutté durant plus de cinq générations pour pérenniser l'organisation de leur structure sociale et affirmer leur identité ethnique unique.
    La plus part, égard à leur us et coutumes, intégrèrent des carrières de dirigeants politiques et surtout militaires (généraux et amiraux dans quasiment tous les pays intégrés). Ils construirent Amman (la capital de la Jordanie) et assurèrent à la dynastie Hachémite de Jordanie une protection sans égale jusqu'à aujourd'hui, d'ailleurs le Prince Ali Ibn Hussein,que nous saluons avec égard, leur a rendu hommage en effectuant un voyage avec des cavalier tcherkesses, de la Jordanie jusqu'au Nord Caucase, à cheval durant l'année 1998 (le 9 Septembre pour 50 jours).(figaromagazine.cahier.n3.31/07/2004.n°18657, Maher Attar, Olivier Michel).

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